85 mm dans les fesses

Catégories : Webcam selfie exhibition Fist dilatation extrême
il y a 5 ans

Afin de renouveler la jouissance que j’avais eue en m’enfilant, à douze ans, un stylo dans le trou du cul, j’ai utilisé des bougies, des godes imitant une bite, des manches d’outils et des légumes les plus variés, des boules dont j’ai parlé dans un autre de mes récits, des objets divers et des plugs de diamètre de plus en plus important : pour moi, en effet, l’essentiel de la jouissance vient de la dilatation du sphincter. Mon fondement étant, au fil des années, devenu de plus en plus souple, le seul passage d’un diamètre à un autre plus important dont je me souvienne est celui où, il y a longtemps, je me suis enfilé une boule de 85 mm.

Le plus gros des godes avec lequel je me dilatais alors l’anus avait 76 mm de diamètre. J’avais envie de plus gros mais, malgré mes fréquentes visites à d’innombrables sex-shops où, en France et à l’étranger, j’allais toujours avec un pied à coulisse dans la poche, je n’avais trouvé que des « champiplugs » de 100 et 120 mm de diamètre maximal. Le gérant de l’une de ces boutiques m’ayant affirmé avoir un client qui s’enculait habituellement avec celui de 100 mm, je l’avais acheté et m’étais acharné, pendant des semaines mais sans succès, à essayer de le faire passer par ma rondelle.

Un soir tard, dans l’une des sex-shops où j’avais mes habitudes, sur le trottoir sud de la rue de la Gaité la plus proche de l’avenue du Maine, j’ai trouvé une boule en caoutchouc noir de 85 mm de diamètre et l’ai immédiatement achetée. Le coût en étant exorbitant, le gérant me proposa de l’essayer, sans supplément de prix, dans une cabine privée en présence d’une hôtesse. Ayant acquis, en plus, un tube de lubrifiant analgésique, je suis allé en compagnie de la fille, une asiatique, dans une cabine avec projecteur où il y avait aussi une table.

Vite nu, je me suis bien tartiné du lubrifiant entre les fesses et en ai copieusement enduit l’objet que j’ai entrepris, de m’introduire dans les entrailles, mais je n’y arrivais pas. Intéressée par le spectacle l’hôtesse, pour m’encourager, fut vite à poil elle aussi, écartant ses fesses à deux mains pour me montrer un trou du cul qui n’était pas vierge, s’y mettant un doigt bien graissé.

J’ai alors eu l’idée de génie : posant la boule, de nouveau bien enduite de gel, sur un coin de table, je me suis assis dessus, écartant les fesses à deux mains, levant les jambes en l’air pour peser de tout mon poids. Et c’est entré.

La fille me proposa alors d’acheter un plus gros plug. Je n’en avais pas envie mais, profitant de l’occasion pour m’exhiber, j’ai accepté à condition d’aller le choisir moi-même dans la boutique, à poil avec la boule au cul. Le gérant ayant accepté, j’ai déambulé pendant dix minutes parmi les clients, malheureusement rares à cette heure tardive, qui m’ont maté grave mais dont aucun n’a osé m’adresser la parole. Finalement, je n’ai pas acheté de plug plus gros, seulement une belle bite d’âne, 7 cm de diamètre et 40 cm de longueur, avec laquelle j’ai, aussi, eu bien du plaisir.

Aujourd’hui, mon plus gros plug a 90 mm de diamètre maximal ; en forme de cloche il entre moins facilement qu’une boule, mais je n’ai jamais eu besoin de m’asseoir dessus pour lui faire franchir l’anneau de mon fondement.

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